Kesha Kuznetsov - No brain, no fear

Kesha Dmitri Kuznetsov

"You gave me another life
You made me another man"

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Mon identité

Ft. Michael Fassbender

☩ Prénoms : Kesha, son deuxième prénom est Dmitri, mais il ne l'utilise jamais.
☩ Nom: Kuznetsov
☩ Age: 40 ans
☩ Date de naissance: 03/03/1975 à Stalingrad/Sainte Mère la Russie
☩ Sexe: M
☩ Orientation Sexuelle : Manyasexuel
☩ Statut: En couple avec Manya
☩ Travail: Travaille à la ferme, dans les champs, mais est également le maréchal-ferrant du Haras
☩ Groupe: Ex-Voyou

Je suis comme ça
Pendant les 25 premières années de sa vie, il n'a été qu'un petit truand, qu'un grand méchant, qu'un homme de peu de foi, qu'un voyou. Cela fait 15 ans qu'il est rangé et vit une vie à la campagne. Mais quelques fois, il a des pulsions de son ancienne vie. Quand il voit une belle voiture devant le haras, une belle femme qui passe devant lui, il se met à repenser à sa vie de petit voyou et se demande où il serait à cet instant, s'il ne s'était pas fait pincé... Désormais, il est dépendant de Manya. S'il l'a séduite pour faire enrager le propriétaire de la ferme, aujourd'hui, il s'aperçoit qu'il ne peut pas vivre sans elle, ni leurs enfants. Manya lui a permis de voir la vie du bon côté et même s'il ne le montre pas, il restera auprès d'elle. Sans elle, il retomberait dans les affres de la drogues, des filles et des rapines. Si autrefois il aimait flamber et se pavaner, il a compris qu'une belle vie, ce n'était pas forcément de belles choses, c'était surtout avoir quelqu'un qui vous aime et faire un métier qui passionne. C'est désormais son cas. Il aime l'air de la campagne, il n'a pas peur de travailler durement et il a une famille aimante.
Il a horreur de se plaindre. Introverti, il gardera son mal-être ou ses douleurs si cela venait à arriver. Il est généralement bourru quand on l'interrompt dans son travail, mais pourtant, il s'y plie de bonne grâce. Il faut tout simplement savoir l'amadouer et il devient particulièrement généreux et compatissant.

Quelques faits divers
☩ Fume comme un pompier. Ce n'est pas rare de le voir avec une clope au bec, mais il ne jette jamais les mégots par terre.
☩ Est encore attiré par son passé et quelques fois regrette son changement de vie.
☩ A souvent des insomnies et sort de la maison pour marcher un peu.
☩ Ne boit sa vodka que d'une seule manière : sèche. C'est à dire sans glaçon, sans rien d'autre que de la vodka pure.
☩ Aime bien aller chasser, mais uniquement pour que cela soit mangé. Ce n'est pas un sport pour lui.

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Titre de l'histoire

Petit titre

Déjà, dès le départ, ça a mal commencé. Mère prostituée, père... inconnu au bataillon. J'ai grandi dans les bas-fonds de Stalingrad, entre débauche de mes "tantes" et les ivrognes des rues. Très tôt j'ai appris à mendier, voler, à me débrouiller, à survivre dans les rues. Ce n'est pas que j'aimais cette vie-là, c'est juste que je ne connaissais aucune autre vie. Du coup, je m'accommodais comme je le pouvais. Je suis allé à l'école oui, mais je ne m'en souviens pas beaucoup. Je n'étais ni bon, ni mauvais, très certainement dans une moyenne grossière, dans une école de quartier. Les études, pour moi, ce n'était pas important. J'ai été descolarisé à 15 ans. Quand ma mère est devenue... moins appréciée de ses clients, j'ai dû me mettre à travailler. Et personne, pas même en cette époque, pas même dans les boulots les plus dégoutants, on a voulu de moi. J'ai fait alors ce que je savais de mieux : voler. J'ai commencé par des voitures. Je me suis trouvé un petit gang de jeunes comme moi. On a rapidement fini par tomber sous le joug d'un autre gang, plus important. Plus implanté dans la ville. On a alors vendu de la drogue pour eux. Nous n'étions pas des dealers, nous étions des passeurs. Et plus le gang prenait de l'importance dans les rues de Stalingrad, plus je grimpais les échelons. A 20 ans, je n'étais plus le petit voleur des rues. J'étais devenu un des bras droit. Mais j'avais envie de plus, toujours plus. Alors de la drogue, on est passé au traffic d'humains. Je connaissais très bien le milieu des prostituées, alors on a commencé un nouveau business. J'étais peut-être jeune, mais j'étais proxénète. Chose qui me rendait particulièrement fier.

Sauf qu'à 25 ans, j'ai manqué UNE fois de méfiance. J'ai oublié, ou je n'ai pas, je ne m'en rappelle plus, vérifier les coordonnées d'une des filles... Cette même fille se trouvant être une flic. La police m'est donc tombée dessus. Si je balançais le réseau, ma peine serait alors diminuée et au lieu d'une prison de haute sécurité, je finissais dans un établissement de redressement. N'ayant aucune envie de moisir dans une prison, j'acceptais donc le marché et on m'envoyé dans un lieu bien spécial. Sans me laisser le choix, quelque part dans les steppes russes. Je me suis donc retrouvé dans une ferme. Et à quoi faire, je vous prie? Retourner la terre? M'occuper des animaux? J'étais en colère! Vraiment en colère! Mais ici, c'était comme une prison, il fallait obéir, telle était la stricte loi de l'endroit. Néanmoins, je crois que j'appréciais ce mode de vie. Je n'avais pas à... me battre pour ma survie. Là, dans cette ferme... je suivais les saisons, je prenais le temps, je découvrais.

C'est là-bas que j'ai rencontré Manya. Elle était la fille du propriétaire. Et je dois avouer qu'au départ, j'avais dans l'idée de la séduire pour faire enrager le vieux Chaikovski. Et il n'a pas fallu bien longtemps pour qu'elle cède. Elle était bien jeune et visiblement amoureuse. Et pendant quelques mois, j'avoue que je me suis laissé tenté par cette petite amourette. Le vieux, il pestait sans savoir qui faisait tourner la tête à sa fille. Et puis... Il y a eu l'accident. Many est tombée enceinte. C'est à partir de là que ça a vraiment changé. C'est à partir de là que je me suis aperçu qu'en réalité... je n'avais aucune envie de partir. Que j'étais bien ici, que j'avais une fille qui m'aimait, que je n'avais pas besoin de me battre pour survivre. A la naissance du bébé, il a bien fallu avouer qui était le père et finalement, Manya a été envoyé à l'armée. Son père avait peur qu'elle ne prenne la poudre d'escampette avec moi. Et il y a quelque chose que son père m'a dit, mais que Many ne sait pas. Son père m'a interdit de partir, sous peine de me renvoyer en prison. Au moins pendant le temps que sa fille serait à l'armée. Il voulait garder un oeil sur moi. Les quelques années qui suivirent me parurent bien longues. Mais à chaque fois que Manya revenait à la ferme, à chaque fois le soleil éclairait ma journée et je travaillais d'arrache-pied après cela.

Quand Manya a fini sa période militaire, elle a acheté le haras juste à côté de la ferme de ses parents. On s'y est installé, avec toute la smalla. Et je n'avais pas besoin de l'interdiction du paternel pour partir, car en vérité, je n'ai jamais voulu partir. Je suis bien ici. Le paternel m'a enseigné le métier de maréchal-ferrant. Je sais que si je retourne en ville pour trouver un travail... je... je replongerais. Je le sais. Je le sens. Désormais, je travaille toujours à la ferme et je continuerais, jusqu'à temps que mes vieux os me lachent. J'aime cet endroit. J'aime Manya.

Qui suis-je ?

"Celui qui se caché derrière l'ordinateur"

☩ Je suis Je'my, mais on peut m’appeler le Tyran et j'ai 31 ans.
☩ Comment tu nous a trouvé ? La jolie propriétaire m'a appelé à la rescousse.
☩ Autre chose a nous dire ? J'vous nem et c'est important.
☩ Nan, j'aime pas Confirme par Totoro...

Modifié par Torhval

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Bienvenue, Invité, avez-vous fait un bon voyage ? Pour pouvoir aller à l'aventure il reste encore quelques détails à régler. Vous aurez besoin d'un logement ainsi qu'un moyen de gagner votre vie. Si vous voulez garder de bons souvenirs rien de mieux qu'un journal intime, ce n'est pas une obligation mais c'est pratique. Une autre méthode pour ne rien oublier c'est de publier quelques mémos N'oubliez pas d'aller voir vos voisins pour vous faire des amis.

Une dernière chose : si vous avez des animaux, vous devez également les déclarer. Des amis ? De la famille ? Votre conjoint(e) ? Des connaissances ? On aimerait bien les connaitre aussi.

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